Cette décision fait suite à des allégations diffamatoires et à la suspension des commissaires. Les médias demandent la reprise des activités.
Cette décision fait suite à des allégations diffamatoires et à la suspension des commissaires. Les médias demandent la reprise des activités.
Cette décision découle de plusieurs éléments, notamment le communiqué du Collège des commissaires de la Haute Autorité de la Communication du 13 juin 2024 condamnant les allégations diffamatoires des deux commissaires, leur suspension pour faute lourde par le Président de la HAC, ainsi que la condamnation à huit mois d'emprisonnement (dont sept avec sursis) par le Tribunal de Première Instance de Kaloum le 20 juin 2024. De plus, les excuses et les aveux de mensonges des commissaires ainsi que leur santé préoccupante en détention ont contribué à ce revirement.
Les associations de presse expriment leur gratitude envers les médias impliqués pour leur compassion malgré les circonstances difficiles. Elles réaffirment leur volonté de poursuivre les discussions avec le gouvernement afin de permettre aux trois médias de reprendre leurs activités.
La date du 3 juillet 2024 marquera un tournant dans cette affaire délicate.
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