Le général Amara Camara clarifie la situation entre la presse guinéenne et le gouvernement, affirmant qu'il n'y a pas de crise malgré la fermeture de certains médias.
Le général Amara Camara clarifie la situation entre la presse guinéenne et le gouvernement, affirmant qu'il n'y a pas de crise malgré la fermeture de certains médias.
Le ministre secrétaire général de la présidence de la Guinée, le général Amara Camara, a déclaré qu'il n'y a pas de crise entre la presse guinéenne et les autorités de la transition. Il a salué la décision de l'État de fermer les groupes de médias Djoma, Hadafo et FIM, affirmant qu'ils avaient violé les conditions de leur licence.
Le général Amara Camara a souligné que les licences ont été retirées de manière administrative, de façon transparente. Il a affirmé que l'État assume pleinement sa responsabilité dans cette affaire.
Il a également mentionné la possibilité de recours légaux pour les médias fermés, soulignant que la justice pourrait éventuellement déterminer s'il y a eu abus ou non. Il a insisté sur le fait qu'un pays ne se résume pas à trois organes de presse.
Le général Amara Camara a affirmé qu'il n'y a pas de crise actuellement entre la presse et l'administration, mettant en avant la représentativité des journalistes présents. Il a souligné que le gouvernement guinéen prend des mesures pour assurer la paix et la stabilité.
Il a exprimé le souhait que la fermeture de médias en Guinée ne soit pas perçue comme une situation isolée, affirmant que de telles décisions sont prises dans divers pays pour préserver le vivre-ensemble. Il a souligné que l'État guinéen assume ses responsabilités.
Mohamed Lamar Diallo, pour Radioguinée, courriel : info@radioguinee.com
Commentaires 0